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L'homme est-il maître de son destin ? conférence de François Brousse à Paris, le 16 octobre 92. 6 месяцев назад


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L'homme est-il maître de son destin ? conférence de François Brousse à Paris, le 16 octobre 92.

Avertissement : cette conférence étant un document d'archive, la qualité de l'image et du son est parfois détériorée. Par conséquent, certains passages ont dû être coupés. Pour en savoir plus sur la pensée de François Brousse et acquérir ses ouvrages : https://www.licorne-ailee.com/ https://un-sage-de-bonne-compagnie.fr/ François BROUSSE pose la question : qu'est-ce que le destin ? Si vous connaissez fort bien les rythmes de l’univers, vous vous apercevrez que trois forces gigantesques dominent le monde : La fatalité pèse sur nous et, à chaque instant, nous sommes coincés devant elle. Il y a la violence, l’ignorance, la sottise, l’écrasement de l’individu devant l’effroyable poids de la société. Tout ceci n’est pas inéluctable. La fatalité, c’est d’abord l’idée que nous sommes soumis, que nous ne pouvons rien, que nous sommes des esclaves ; or, ce n’est pas vrai ; nous ne sommes pas des esclaves. La providence s’incarne dans des hommes exceptionnels que les Hindous appellent « avatars ». Ils viennent là pour supprimer la guerre, l’ignorance, la violence, la folie, et ils apportent toujours une torche flamboyante dont les étincelles vont éclairer l’univers. Ils sont les incarnations de Dieu sur la terre. Cela se produit à travers tous les âges et continuera ainsi toujours. Nous avons la possibilité de choisir entre les dictateurs cyniques et monstrueux qui écrasent les peuples et les hommes et qui sont des incarnations même de l’antéchrist, c’est-à-dire de la fatalité, et puis les avatars qui apportent la liberté. La liberté humaine, c'est que nous pouvons toujours briser les chaînes qui nous lient. Non seulement nous pouvons le faire, mais encore il faut en prendre conscience. S’imaginer que nous sommes déjà écrasés par le poids du social, écrasés par le poids du destin, écrasés par le poids du mal, c’est déjà capituler et nous n’avons pas à capituler. Dans cette conférence François BROUSSE s'interroge aussi sur le monde nouménal et le monde phénoménal ? Est-il possible de détruire tous ces cycles et d’arriver à une totale et parfaite indépendance ? Je le crois. Rien ne nous oblige à subir un cycle quel qu’il soit ; pour le dépasser, il suffit de rentrer dans le monde solaire. Nous imaginons être dans le monde solaire, et là, tous les événements cycliques s’effacent définitivement. Kant affirmait l’existence de deux mondes, le monde nouménal, le monde phénoménal. À juste titre, il prétendait que, dans le monde phénoménal, l’homme était soumis au temps, à l’espace et à la causalité, mais que tout cela s’effaçait dans le monde nouménal définitivement. Notre esprit est enfermé dans l’idée de temps, dans l’idée d’espace et dans l’idée de causalité. Mais supprimons ces idées en nous, et nous avons un être qui est en dehors du temps, donc éternel, en dehors de l’espace, donc infini, en dehors de la causalité, donc tout puissant et totalement libre. Kant n’a pas osé aller jusque-là ; mais pourtant, à la fin de sa vie, il proclamait à nouveau cette vérité. Cela s’est traduit par cette fameuse phrase : « Deux choses m’emplissent d’une admiration permanente et infinie, le ciel étoilé au-dessus de ma tête, la loi morale au fond de mon cœur» Et au nom de la loi morale, il demandait l’immortalité, car selon lui, l’injustice régnait dans le monde, le juste et le bonheur n’étaient jamais liés ; il faut donc – pour que Dieu ait raison – une âme immortelle et un monde dans lequel le juste et le vrai, et le beau et le bon, soient liés enfin définitivement sous la bénédiction de Dieu. Kant a connu Swedenborg qui, lui aussi, était en dehors du temps, de l’espace et de la causalité ; il s’est aperçu que Swedenborg était capable de voyager à travers l’espace et de voir ce qui se passait d’un bout du monde à l’autre. Cela nous donne l’idée de plusieurs initiations, et l’humanité entière doit traverser au moins quatre initiations, celles de l’eau, de la terre, de l’air, du feu, et peut-être une cinquième qui serait l’initiation de la huitième couleur et de la quatrième dimension.

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