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ARALIA À PAPIER (TETRAPANAX) UN ARBUSTE EXUBÉRANT AUX FEUILLES GÉANTES. Le Quotidien du Jardin N°416 4 дня назад


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ARALIA À PAPIER (TETRAPANAX) UN ARBUSTE EXUBÉRANT AUX FEUILLES GÉANTES. Le Quotidien du Jardin N°416

NewsJardinTV, la chaîne 100 % passion pour les plantes, les jardins, la botanique, la nature et le jardinage, vous propose le numéro 416 de son émission « Le Quotidien du Jardin » réalisée par Nicole et Patrick Mioulane. Teddy nous pose la question suivante : avez-vous déjà abordé le sujet du Tetrapanax ? Je vis dans le département de la Loire et je me demande s’il est possible d’y cultiver cet arbuste. Tetrapanax est un arbuste originaire de l’est et du centre de la Chine mais aussi de Taïwan, que de plus en plus de pépinières proposent en raison de son comportement luxuriant et de son feuillage extrêmement spectaculaire. On appelle parfois le Tetrapanax « plante à papier de riz » ou « aralia à papier » parce que la moelle de sa tige est utilisée pour fabriquer ce papier particulier, sur lequel les artistes chinois et japonais peignent leurs fameuses estampes ou des calligraphies. Ce papier issu de la moelle du Tetrapanax est connu depuis la dynastie Tsin (265 à 420). La plante a d’abord été décrite dans sous le nom Aralia papyrifera en 1852 par le botaniste anglais William Jackson Hooker (1785 – 1865). Et c’est le botaniste allemand Karl Heinrich Emil Koch qui a créé le genre Tetrapanax en 1859. Il s’est inspiré du grec tetra, 4 (référence aux quatre pétales et quatre étamines des fleurs) et panakeia, panacée (qui guérit tout) Il s’agit d’un genre monotypique, c’est-à-dire qui ne comprend qu’une seule espèce : Tetrapanax papyrifer (Araliacées), l’épithète spécifique signifiant « qui produit du papier ». Le Tetrapanax est remarquable par ses dimensions. Dans la nature, il atteint 7 m de haut (en moyenne 3 m en culture), formant un tronc non ramifié, qui peut mesurer 9 cm de diamètre. Les rameaux sont couverts d’une sorte de velours brun pâle. Le feuillage est semi-persistant (il tombe dès les premières gelées, mais reste présent dans les régions aux hivers doux) Les feuilles de disposition alterne, forment une couronne à l’aspect de parasol au sommet de chaque tige. Portées par un pétiole de 30 à 60 cm de long, elles sont palmatilobées. Glabres sur le dessus, écailleuses et veloutées sur la face inférieure, elles mesurent de 50 à 75 cm de large. Elles sont découpées en 7 à 12 lobes profonds, pointus et aux bords grossièrement dentés. Les fleurs blanc jaunâtre, duveteuses, réunies à l’extrémité de la tige en une panicule d’ombelles de 20 à 50 cm de long, se forment d’octobre à décembre et attirent les abeilles. Elles sont suivies de fruits violet foncé (des baies de 4 à 5 mm de diamètre), mûrs en janvier ou février. Le cultivar Tetrapanax papyrifer ‘Rex’ se caractérise par sa vigueur supérieure à celle de l’espèce type, ses feuilles pouvant mesurer jusqu’à 1 m de diamètre. Tetrapanax papyrifer a un comportement drageonnant qui le conduit à former en quelques années un bosquet spectaculaire lorsqu’il est planté en pleine terre. Il se comporte aussi très bien dans un grand pot, mais conserve alors des dimensions plus modestes. Dans la nature, l’aralia à papier pousse dans les forêts marécageuses. Il a donc besoin d’une exposition mi-ombragée et d’un sol consistant, riche et qui reste frais. Soyez très généreux en matière d’arrosage. Veillez aussi à abriter la plante des vents forts qui abîmeraient son beau feuillage. Tetrapanax papyrifer présente une rusticité correcte (-10 °C), mais par grand froid, l’ensemble de la partie aérienne peut disparaître, de nouvelles tiges se formant à partir de la souche au printemps. • Tout savoir : la plante que l’on trouve parfois sous le nom Tetrapanax tibetanus, est officiellement dénommée Merrilliopanax alpinus. C’est un arbuste originaire de l’Himalaya (Népal, Bouthan, Tibet) que l’on rencontre entre 1 500 et 3 000 m d’altitude. Il existe d’autres plantes ayant le mot panax dans leur nom : Carl von Linné a créé le genre Panax en 1753. Il compte 23 espèces, dont Panax ginseng le ginseng aux vertus stimulantes bien connues. Le genre Pseudopanax créé par Karl Koch en 1859, compte 7 espèces d’arbustes à feuillage persistant originaires de Nouvelle-Zélande. Dans les régions au climat doux (rusticité – 5 °C), on cultive surtout Pseudopanax lessonii dont il existe divers cultivars au feuillage décoratif. Les plantes rustiques que l’on appelait anciennement Acanthopanax sont réunies dans le genre Eleutherococcus (29 espèces). Elles sont à la fois ornementales (E. sieboldianus ‘Variegatus’ et utilisées en herboristerie (ginseng sibérien, E. senticosus). Merci de nous avoir suivi. Nous espérons que ce court intermède vidéo vous aura intéressé et que vous aurez passé d’agréables moments en notre compagnie. Nous vous donnons rendez-vous chaque soir à partir de 19 heures pour une nouvelle émission : « LE QUOTIDIEN DU JARDIN ». C’est sur NewsJardinTV et nulle part ailleurs ! Dans le numéro 417 nous répondrons à la question suivante : Je viens de découvrir des pousses d'onagre bisannuelle (Oenothera biennis). Pourriez-vous en faire une vidéo et présenter les autres variétés ?

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