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« Main basse sur la pensée. Les grandes arnaques » : qu'en dit l'Orthodoxie ?

« Saurons-nous habiter la vie divine pour considérer autrement l'homme, Dieu et le monde ? » Pour répondre à cette interrogation-interpellation qui traverse de bout en bout, l'ouvrage « Main basse sur la pensée. Les grandes arnaques », Carol SABA reçoit l'auteur, Bertrand VERGELY, philosophe, essayiste et théologien orthodoxe, le jour de la sortie du livre aux Editions Salvator, en librairie. « Quand on sait comment arnaquer les esprits, il n'est pas difficile de devenir le maître du monde. Quand on sait comment rétablir la vérité et l'honnêteté, on devient son libérateur ». Ces constats lucides de Bertrand VERGELY en disent long sur les maux et enjeux de notre époque tourmentée par « des interrogations fondamentales qui demandent un vrai travail de pensée ». Quels en sont ces mensonges, folies, et vols que dénonce Bertrand VERGELEY dans son « vigoureux plaidoyer pour ne pas se laisser faire » ? « Mensonges actuels que sont la mort de Dieu ou celle de l'âme ? « Folies que sont le transhumanisme ou le wokisme ? « Vols des valeurs ou de la spiritualité » ? Quels en sont ces mécanismes d'emprise, de captivité et de simplification qui « ne font que conduire aux grandes arnaques intellectuelles dont nous souffrons aujourd'hui » ? Comment « lutter contre cette main basse sur la pensée qui ne dit pas son nom » ? Bertrand VERGELY, philosophe, essayiste et théologien orthodoxe, invité de Carol SABA, le dira. Le Journal de l'Orthodoxie et des Publications met à l'honneur un ouvrage de référence, « Le droit canonique et ecclésiastique de l'Eglise orthodoxe », une première en français, publié sous la direction du Métropolite GREGORIOS PAPATHOMAS, aux Editions Presse Universitaire de Strasbourg. En cette période de Grand Carême chez les orthodoxes, en préparation de la montée vers la Sainte Pâques du Seigneur, le sonore de fin d'émission est le célèbre chant traditionnel « invincible conductrice de nos armées » de l'Hymne Acathiste à Marie, la Mère de Dieu, qui commémore la résistance héroïque du Patriarche Serge 1er de Constantinople (ndlr. pontificat de 610 jusqu'à sa mort en 638) lors du siège de la Ville Reine en 626 et qui organisa les processions avec l'icône de la Mère de Dieu sur les remparts de Constantinople. Depuis, cet office de l'Acathiste à la Mère de Dieu est chanté debout, dans toutes les langues, dans toutes les églises orthodoxes, partout dans le monde, tous les vendredis du Grand Carême de Pâques, en reconnaissance à la Mère de Dieu qui sauva sa ville.