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Ce chant Italien est un manifeste contre la guerre : "O Gorizia, tu es maudite" Ce chant raconte la bataille sanglante et inutile de Gorizia, à la frontière italo-slovène, en août 1916. Paroles et traduction https://fr.wikipedia.org/wiki/Gorizia Texte original La mattina del cinque di agosto, Si muovevano le truppe italiane Per Gorizia, le terre lontane. E dolente ognun si partì. Sotto l'acqua che cadeva al rovescio, Grandinavano le palle nemiche; Su quei monti, colline e gran valli, Si moriva dicendo così : O Gorizia, tu sei maledetta, Per ogni cuore che sente coscenza; Dolorosa ci fu la partenza E il ritorno per molti non fu. O vigliacchi che voi ve ne state, Con le mogli sui letti di lana, Schernitori di noi carne_umana, Questa guerra ci_insegna_a punir. Voi chiamate il campo d'onore, Questa terra di là dei confini Qui si muore gridando "Assassini !" Maledetti sarete un dì. Cara moglie, che tu non mi senti Raccomando ai compagni vicini Di tenermi da conto i bambini, Che io muoio col suo nome nel cuor. Traditori signori ufficiali Questa guerra l’avete voluta Scannatori di carne venduta E rovina della goventu. O Gorizia, tu sei maledetta, Per ogni cuore che sente coscenza; Dolorosa ci fu la partenza E il ritorno per tutti non fu. Traduction française Au matin du 5 août, Les troupes italiennes étaient en marche. Vers Gorizia, les terres lointaines. Et chacun partit plein de regrets. Sous la pluie qui tombait à verse, Grêlaient les balles ennemies ; Sur ces monts, collines et grandes vallées, On mourait en disant ceci : Ô Gorizia tu es maudite, Pour tout cœur sensible à la conscience ; Le départ fut douloureux Et pour beaucoup il n'y eut pas de retour. Ô lâches qui vous prélassez, Avec vos femmes sur des lits de laine, Qui vous moquez de notre viande humaine, Cette guerre nous apprend à punir. Vous appelez « champ d'honneur », Cette terre par delà les frontières. Ici on meurt en criant « assassins ! » Un jour vous serez maudits. Chère épouse, toi qui ne m'entends pas Je m'en remets aux compagnons près de moi Pour prendre soin de nos enfants, Et dire que je meurs ton nom dans mon cœur. Messieurs les traîtres officiers Cette guerre vous l’avez voulue Équarrisseurs de notre chair vendue Et ruine de la jeunesse. Ô Gorizia tu es maudite, Pour chaque cœur qui entend sa conscience ; Le départ nous fut douloureux Et pour tous il n'y eut pas de retour.